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 Leïwah - Sometime a shadow wins

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MessageSujet: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyMer 26 Mar - 18:27



Leïwah Lonerider



 

Jeux des apparences

Que la grâce des dieux t'accompagne, Leïwah Lonerider, Fille du Levant. Que leur clémence te préserve des complots et de la périlleuse valse des poignards, toi qui a déjà affronté 22 hivers et s'en est sorti indemne. Que tu sois chevalier ou simple vagabond, sache que c'est d'un œil intrigué que te jaugent les rois et les reines de jadis, passant tes jours au fil d'une rapière qu'on appelle Jugement. Puissent les augures du mois de mai t'apporter prospérité et bonne fortune et puisse tes congénères de Hvittjell t'apporter leur appui et leur soutien dans les intempéries. Souhaite que ton statut de noble t'empêche de glisser dans le gouffre de l'oubli et puisse ton cœur éperdu de célibat trouver libération dans les neiges des Terres du Nord. Bienvenue au Cimetière des dieux, bienvenue sur Middholt, bienvenue sur l'échiquier...

Jeux des ambitions

Moralité : Leïwah observe. Leïwah attend. Que se décident les jeux de pouvoir, que le feu dévore les plaines, qu’on lui rappelle son serment. A vrai dire elle a peu à peu cessé de croire en une quelconque égalité, en un Salut inatteignable. En dirigeant sa vie dans le seul but de protéger autrui, elle s’est aliéné elle-même en choisissant inconsciemment de protéger le trône. Mais quel trône ? Et à quel prix ? Elle ne saurait le dire avec exactitude sauf au moment où elle y sera confrontée. Rien de certain mais une chose est sûre : ses idéaux, ses principes resteront forts dans l’adversité. Mais ses principes quels sont-ils ? Ils ont eu tendance à fluctuer dans le temps, inexorablement, des vagues qui déferlent des sentiments que l’on dissimule et une vie à manier les armes.  C’est brusquement qu’elle s’est rendu compte qu’elle voulait vivre pour elle-même et cesser de vivre pour les autres, ombre parmi les ombres, lame parmi les lames. Meurtrière, elle sait se débrouiller seul et par delà ce seul aspect, elle sait vivre seule. Fortement ancrées en elle sont les valeurs des Chevaliers d’Airain et bien qu’elle puisse faire abstraction de certains de leurs principes, d’autres sont impossible à éluder. Vaille que vaille dans les tempêtes, elle est un pilier de cette institution et leur fait honneur bien que dans son cœur se battent deux sentiments mitigés : l’honneur et le déshonneur. Elle ne sait jamais vraiment de quel côté se placer ni même s’il existe un côté. La corde raide qui, devant elle, se tend, semble infinie. Mais attention, à trop tenter de tester les limites, elle a conscience de pouvoir y perdre les ailes. Mystérieuse, elle ne dit rien de ses intentions puisqu’elle ne les connaît pas vraiment elle-même. Sa passion couve, prête à exploser, éclater au grand jour et s’enfuir au loin. Prête à se retourner mais sans vraiment se détourner, tel est son fardeau : l’indécision d’une vie chevaleresque. Suivre son cœur en écoutant sa raison, bien que le cœur ait des raisons irraisonnées.

Allégeance : Longtemps dans les rouages de la politique par le biais de sa famille, elle s’en est désintéressée par la suite. Son royaume de naissance possédant sa propre légitimité, il ne lui paraît d’ailleurs même pas concevable qu’elle puisse soutenir tel ou tel prétendant mais, récemment, sa neutralité obligée de par son nom de famille et sa nature de Chevalier d’Airain ont commencés à évoluer. Il lui apparaît que Jora, finalement, aurait pu avoir des revendications concernant le trône mais elle ne le dit jamais à haute voix, gardant pour elle ses pensées concernant le jeu pour le trône. Même si finalement elle se tient à l’écart, elle sait qu’un jour elle va devoir choisir un camp. Et même en s’y préparant, son choix risque d’être très compliqué.


Jeux du passé

Passé au fil de l’épée, le sang devenait presque noir, bu par la terre comme une eau trop peu abondante. Chaque goutte était immédiatement dissoute dans la terre noire et bien qu’une tache un peu plus sombre colorait l’espace interne de la clairière, rien ne laissait véritablement présager que justice avait été rendue en ces lieux. Ses yeux bleus dissimulés derrière les larges pans de sa cape, le capuchon rabattu sur ses cheveux blonds, Leïwah faisait partie intégrante des hommes, personne ne la remarquait. Seul son frère, à ses côtés, lui tenait la main dans un simulacre de réconfort dont elle n’avait que faire. Endurcie depuis longtemps déjà à la vue du sang, elle s’y était habituée au même titre que la broderie ou toute autre activité bénigne. Certes, elle n’aimait pas le faire couler mais elle savait pertinemment que le moment venu, elle devrait le faire. Comme tous les Lonerider.
C’était sa première exécution publique et le regard bleu glacier de son père la transperça, lance assassine pleine de jugement. Il jaugeait l’effet de la tête coupée qui reposait lamentablement sur le sol terreux. Son frère avait tiqué au moment où l’épée, vengeresse, avait presque délicatement ôtée la vie. Elle, elle n’avait pas cillé. Du haut de ses 6 ans, elle savait pertinemment qu’elle devait s’y faire et même si les traces de son enfance continuaient à subsister, dans ses yeux ne résidaient plus que la froide pâleur du devoir à accomplir. Si jeune et déjà combattive. Pour sa famille. Dans quelques mois, le jour de son septième anniversaire, elle serait envoyée chez les Chevaliers d’Airain pour apprendre à combattre, tel était le sort de tous les descendants de cette illustre famille porteuse du signe de l’étalon sauvage. Aujourd’hui n’était qu’une étape de plus afin de prouver qu’elle avait la carrure, qu’elle pouvait supporter les épreuves aussi bien que son frère. Elle qu’on avait tant et si bien rabaissée uniquement parce qu’elle était une fille, elle se voyait devenir l’une des plus fines lames du royaume. Il le fallait, autant pour elle que pour les Lonerider. Après tout, dorer son blason n’a jamais fait de mal à qui que ce soit et si, en plus, elle pouvait s’apporter les faveurs de son paternel tout n’en serait que plus bénéfique.
Une main sur son épaule l’arracha à ses contemplations silencieuses. Une voix masculine chuchota à son oreille. Son frère, toujours bienveillant envers elle.
« Regarde-le, droit dans les yeux, montre lui ce que tu vaux ».
Contrairement à lui, elle n’avait pas eu le luxe de bénéficier des leçons de son père quant au courage et autres façon de s’affirmer dans la société des chevaliers. A son grand dam d’ailleurs puisqu’elle voulait absolument rejoindre les rangs de cette illustre faction et devenir l’un de leur membre les plus distingués. Lentement, elle remonta le menton jusqu’à croiser le regard inquisiteur qui, d’un hochement de tête, se détourna et alla nettoyer son épée. Il avait toujours considéré qu’avoir une fille était un mauvais présage. Une fille née au printemps, un peu trop tôt, faiblarde. Il n’avait pas eu d’autre enfant depuis elle et le ressentait vivement, comme une honte faite à son nom. Mais il comptait bien l’envoyer faire couler le sang, qu’elle serve à quelque chose. Les Lonerider étaient des guerriers, qu’on se le dise. Elle n’échapperait pas à la règle.

+++

Déjà six ans qu’elle maniait l’épée, qu’elle entendait railleries, quolibets et autres sobriquets on ne peut plus exotiques à son intention. Elle leur avait montré, à tous, ce qu’elle valait mais rien n’avait l’air d’être suffisant. Elle n’était qu’une fille. Une fille de noble mais rien d’autre que le sexe faible. Lady Pleureuse était la façon dont on préférait l’appeler puisqu’en arrivant elle était tombée à genoux dans de la boue et que, lamentablement, des larmes avaient coulées le long de ses joues. Elles avaient été les dernières. Depuis, plus une seule n’était venue mouiller ses joues. Elle s’était endurcie, vaillamment, insensible à tout ce qu’on pouvait dire d’elle, bien décidée à obtenir ce qu’elle voulait quitte à abandonner qui elle était. La guerrière surpassait tout ce qu’elle avait été jusqu’alors. Elle savait qu’il n’était qu’un masque mais à force de le porter, ne devait-elle pas s’inquiéter que lentement s’effrite en elle les derniers morceaux de sa personnalité d’antan ?
Dans sa tête repassait encore et toujours la devise de sa maison : « Aussi rapide que l’étalon dans le vent » c’est pourquoi elle avait choisi le corps des cavaliers. Plus que tous les autres, celui-ci lui permettait de se sentir peut-être moins seul. Son destrier, un grand étalon brun-rouge aux muscles saillants paraissait pouvoir l’écraser d’un coup de sabot bien placé mais qu’on se le dise, ils se respectaient mutuellement bien trop. Elle éprouvait une sorte de passion éperdue pour l’animal et instinctivement ce dernier paraissait la comprendre plus que nul autre. Elle sentait, avec lui, revenir les bribes de souvenirs de son enfance. Une enfance certes, sur bien des points, rudes, mais aussi douce et joyeuse. Comme elle. Comme elle l’avait été en tout cas. Lui revenait en mémoire des images de ses jeux avec son frère, avec le fils du palefrenier aussi pour lequel elle avait eu une passion enfantine. Aujourd’hui elle ne savait plus à quel saint se vouer. Il lui fallait rester forte même si, dans son for intérieur, elle sentait s’écrouler un par un tous les pans de ce qui avait été autrefois une jeune fille aimable, souriante et sociable. Bien peu de personnes avaient su gratter la surface.  Pas ici en tout cas. Dans ce monde d’homme sans pitié qui inlassablement la rabaissait toujours plus bas que terre. Mais ne dit-on pas que ce qui ne tue pas rend plus fort ?
Dans son champ de vision périphérique, soudainement, une rixe éclata. Elle tourna la tête en posant la main sur les naseaux de sa monture afin de la calmer. Des insultes jaillissaient. Retombaient. Des coups pleuvaient. Et au milieu des coups, un visage familier. Et soudain ce fut comme si elle était catapulté des années en arrière, dans un passé qu’elle pensait maintenant révolu. Ses yeux sombres se fichèrent dans les siens pour ne plus les lâcher avant qu’elle n’intervienne avec force coup et réprimande. Et bien que quelques remontrances mauvaises fussent lancées à son intention elle n’y porta pas garde. Allongé dans la terre froide de ce début de novembre, il la regardait avec les mêmes yeux qu’avant : rieurs mais si sérieux à la fois. Elle l’aida à se relever et, sans un mot, l’attira à l’écart. Le palefrenier qui avait partagé ses jeux durant son enfance. Il était là devant elle.
« Qu’est-ce que tu viens faire ici ? » Le ton était froid et sans appel. Pas l’ombre d’un sentiment émergeait de sous ses paroles venimeuses et presque inquisitrices. Elle ne comprenait pas ce qu’il venait faire ici, lieu à ses yeux plus proches de la désolation que du bonheur.
« On m’y a envoyé presque de force en constatant que je savais à peine manier une épée. Et puis je m’y suis laissé transporter. Pour te revoir… »
L’inflexion soudaine de cette voix tant aimée dans le passé raviva tellement une flamme perdue dans son cœur qu’un instant elle se sentit flancher. Pour se reprendre aussitôt.
« Tu ne devrais pas être ici, il n’y a pas de place pour ne serait-ce qu’un tout petit fragment d’amitié. »
« Je sais. Mais maintenant que j’y suis, qu’est-ce que tu vas faire ? Me mettre dehors ? Sur les routes ? je mourrais en un rien de temps. »
Dans un soupir agacé, elle se figea. Il avait raison, maintenant qu’il était ici il se devait de continuer coûte que coûte son entraînement sans quoi il en serait réduit à errer lamentablement sur les routes. Son cœur, plus froid que de la glace, semblait maintenant fondre lentement devant un soleil d’été. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait sinon qu’en réalité, son amour d’enfance s’était matérialisé devant elle et que maintenant il semblait la sonder et voir au plus profond d’elle-même.
Elle le repoussa sans ménagement contre un mur et secoua ses longs cheveux blonds en réfléchissant. Puis elle se retourna vers lui et martela
« On ne se connaît pas. On ne s’est jamais connu. » Et elle se détourna sans un mot de plus.

+++

Maître-cavalier. Et tout le prestige qui va avec. Jamais Leïwah ne se serait attendu à tant de courbettes de la part de ceux qui, durant sa formation, lui faisait coups bas sur coups bas et pourtant… ils sont là, courbant l’échine. Un sourire de satisfaction vient enjoliver ses traits à chaque fois qu’ils la félicitent, la congratule. Un sourire de triomphe également. Au bout du compte, elle n’est pas souvent retourné dans le fief familial depuis qu’elle est devenue sera. Elle passe sa vie sur les routes avec son cheval à vadrouiller. Telle est sa vie et elle lui convient.
Ce matin, les dernières nappes de brouillard viennent s’accrocher mollement aux branches gelées des arbres au-dessus de sa tête. Depuis ses jeunes années, beaucoup de choses ont changés. Elle qui pensait se perdre en chemin s’est en fait retrouvée. Lentement, elle s’est bâti une carapace et bien qu’elle montre un visage froid au monde alentour, elle a su conserver ce qu’elle avait peur de perdre : sa chaleur humaine. Dû à une personne en particulier, ce changement singulier a eu raison de leur relation : ils sont maintenant plus proches que jamais. Maxen. Le fils du palefrenier qu’elle avait secouru est maintenant devenu comme elle et, comme elle, il patrouille. Aujourd’hui, il est avec elle et, à son grand étonnement, son malaise se fait plus grand à chaque kilomètre. Non pas qu’elle ne le connaisse pas mais pendant de longues années ils ne se sont pas parlé pour ensuite redevenir ami. Mais ils ont grandi. Et leur amitié s’est teinté d’un quelque chose qu’elle ne saurait véritablement détruire.
Chassant ses pensées, elle se leva dans le petit jour. Tout le monde dormait à poings fermés. La sentinelle qui avait prit le dernier tour de garde, en alerte, lui fit un signe de tête qu’elle lui rendit pour lui confirmer que tout allait bien. Les batailles pour le trône allant et cessant, elle avait peu à peu cessé de suivre les affaires du monde pour se reporter sur sa tâche à elle. Celle de former les recrues, de combattre et de s’occuper de sa monture. Rébarbatif pour certains mais qui, finalement, lui apportait une paix bienvenue. Loin de toutes les chamailleries pour le trône, elle n’existait plus de part son prestigieux nom de famille mais bien par elle-même.
Soudain, une vision la coupa en deux. En un instant, elle fut transportée ailleurs et distingua successivement un corbeau, une maison en feu et des larmes de sang dans une clairière qu’elle pensait avoir oubliée. Rien de moins. En fronçant les sourcils, elle se ressaisit, le cœur battant. De plus en plus ce genre d’évènements venait marquer inlassablement son quotidien. Elle qui pensait devoir sans cesse cacher ses origines, elle devait aussi cacher cet étrange pouvoir qui s’imposait à elle. Le souffle court, elle s’assit sur un rocher proche. Sa ceinture de maille l’astreignait à devoir se tenir droite et, ainsi, dans le soleil qui se levait, le chatoiement des plaques ornant ses épaules et sa taille semblèrent l’illuminer. Elle qui pensait avoir à vivre une vie de fille enfermée dans une tour à faire de la broderie, elle se retrouvait en pleine nature à vivre. Vivre pour elle. En souriant elle se retourna vers ses camarades qui se mettaient sur leur séant en pestant contre la luminosité matinale. L’avenir paraissait soudainement plein de promesse.


Jeux du réel

Pseudonyme/Prénom : Absiinte :3Âge : 22 ans What a Face Localisation : Rhône-Alpes. Lyon. RP : Heu... j'en sais fichtrement rien mais le minimum reste en tout cas à 600 mots. S'il y a matière à répondre, je peux facilement faire jusqu'à 1500. Occupation: Étudiante Le mot qui vous décrit le mieux: Flemmarde ? :arrow:Ironique. Comment avez-vous découvert Frostfall ?: Par Bazzart Commentaire/Suggestion ?: njfeinghzbrg. Il est vraiment parfait, complexe mais en même temps tellement complet  Amour 

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Sylarne Clanfell

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyMer 26 Mar - 18:30

NOTRE PREMIER MEMBRE QUI POSTE SA FICHE ! Fou

*lui lèche le visage*
Bienvenue dans ce monde de timbrés !  Amoureux 
En tant que première fiche postée, je t'envoie une photo de Lorkhan en caleçon et des léchouilles tout plein !

Si tu as des questions ou si tu as besoin d'aide pour ta fiche, n'hésite pas à nous le faire savoir, nous sommes là pour ça ! On t'aime !  En amour 

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyMer 26 Mar - 19:24

Du moment que tu vas pas chercher la photo sur Google, je prends tout Pervers
Merci beaucouuuup en tout cas  Fou  Et merci de nous avoir pondu ce forum, c'est vraiment une merveille ! Fou

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Lorkhan Ravncrone

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyMer 26 Mar - 19:27

Allez, je me sacrifierai pour la cause va  Angélique 

En tout cas, bienvenue à toi et j'ai vraiment hâte de voir ta fiche ! Comme l'a dit notre illustre Reine d'Ibenholt, n'hésite pas à nous contacter en cas de soucis, nous sommes tes humbles serviteurs Wink

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyMer 26 Mar - 19:51

Boarf, c'est si gentiment proposé... comment refuser? Pervers (j'ai l'impression de mettre ce smiley un peu trop souvent dans mes phrases What a Face je vais finir par être la perverse du forum What a Face)
Merci en tout cas  Amour 

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 16:54

Désolée du DP !
Mais j'ai terminée ma fiche ! *danse de la joie*
Si quoi que ce soit ne va pas, n'hésitez pas à me le dire ! :3

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 16:59

Je m'occupe de toi tout de suite après ma réunion Skype ! J'ai déjà lu la moitié de ta fiche alors ça ira vite !

Tu es la première à avoir terminé !  Culte 

* Lance des confettis *

(En attendant, tu peux nous faire crouler sous le flood Siffle)

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 17:02

On sort le champagne ! Very Happy
J'vais aller faire un tour du côté du flood de ce pas !

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 17:45

Bon, finalement les gens se font attendre et j'ai amplement le temps de m'occuper de ta fichette ! cheers

Tout d'abord, magnifique personnage ! Avec Amanda Seyfried en avatar, une femme qui semble si fragile, tu as pourtant fait d'elle une intéressante guerrière, une femme qui semble distante et pourtant passionnée, ce qui me plaît beaucoup ! Tu as introduit de belles nuances dans une personnalité chevaleresque (alors qu'on s'attendrait presque à la voir sauver la veuve et l'orphelin dans un élan d'altruisme manichéen), lui donnant ses propres spectres à combattre, ses propres intérêts et ses propres principes. Je te lève mon chapeau et en plus, c'est très bien écrit, ça nous donne définitivement envie d'en savoir plus sur Leïwah et de la voir évoluer ! S\'Il te plaît

Je crois que tu as bien saisi l'essence des Chevaliers d'Airain. Il faut simplement faire attention, puisque les Chevaliers d'Airain ne protègent pas un trône (ou les trônes), ils n'ont rien à faire de la chute et de l'ascension des rois, ils protègent Middholt en général et ses habitants des menaces qui peuvent venir de l'intérieur comme de l'extérieur. Je crois que tu as bien compris, seulement peut-être changer le mot « trône » dans la description morale de Leïwah. Wink

Sinon, pour mon intérêt personnel (et aussi pour le rajouter dans les annexes), Leïwah se situe où dans la famille Lonerider par rapport à Éthaìn ? Est-ce sa nièce, sa cousine ?

Alors alors, après ce pavé, c'est avec joie que je te valide officiellement !  Applaudissement 

EDIT : Juste comme ça, c'est normal qu'on ne voit pas l'image ? Interrogatif



Validé(e) !   Excité 

Félicitations, très cher pion, et bienvenue sur l'échiquier de Frostfall. Gare à toi, parce qu'ici, la félonie est un plat qu'on sert à toutes les sauces...

N'oublie pas de recenser ton avatar et de rédiger ta fiche de lien dans la section gestion des personnages. Si tu souhaites avoir ton rang personnalisé, c'est ici que tu dois te rendre !

Sur ce, nous te souhaitons bon jeu sur Frostfall et espérons que la Fatalité te sera favorable !


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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 17:59

Wouah merci pour tous ces compliments, ça me va droit au coeur  Amour Amour 
Je vais changer ce qu'il y a à changer du coup :3
Et je la voyais bien en tant que nièce d'Ethaïn What a Face C'est vrai que je ne l'ai pas précisé !

Et quelle image? Il y en a une chez moi, juste en dessous de son prénom ^^

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 18:09

Interrogatif Bizarre, elle ne s'affiche pas chez moi. Mais c'est pas très grave.

Parfait pour la nièce d'Ethaìn, je t'ajoute à la maison Lonerider ! cheers

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins EmptyJeu 27 Mar - 18:22

Admiration 
Merciiii !

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MessageSujet: Re: Leïwah - Sometime a shadow wins   Leïwah - Sometime a shadow wins Empty


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