(M) LEOGRAN SNOWHELM ℘ Fils héritier. (INCARNÉ)

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Dralvur Snowhelm

Ours cendré d'Ibenholt

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ARRIVÉE : 29/03/2014
MURMURES : 1013

Sujet: (M) LEOGRAN SNOWHELM ℘ Fils héritier. (INCARNÉ)

Mer 21 Mai - 4:21

Leogran Snowhelm

Incarné par david oakes

Informations

Groupe : Fils du Septentrion. Race : Humain. Mois de naissance : Novembre. Âge : Vingt-quatre ans. Occupation : Héritier des Snowhelm, fils insubordonné, et chevalier torrentiel. Statut civil : Célibataire. Statut social : Noble. Lieu d'origine : Les terres du Nord, Redcliff. Allégeance : Neutre.

Biographie

CE SONT LES ÉTOILES, TOUT LÀ-HAUT, QUI GOUVERNENT NOS EXISTENCES.

Estimable • Belliqueux • Rogue • Magnanime • Fier • Colérique • Retors • Intuitif • Sentimental • Volubile • Tourmenté • Impulsif.

*
* *

℘ Premier enfant. Premier fils. Première gloire.
Il naquit dans les entrailles de Redcliff sous un ciel diluvien et, non peu fier d’avoir un héritier mâle, son père vit en ce prodige climatique la prophétie d’un grand seigneur en devenir pour le frêle poupon qu’il tenait entre ses bras noueux. « Il sera l’égal de ces éclairs ; vif et impétueux. Il sera l’égal de ces zéphyrs ; prodigieux et jovien. Il fera gronder l’éclat de ses aïeuls et souffler le panache de ses racines. » Ainsi le prédestina son géniteur, porté par une gloriole digne de cette illustre dynastie qu’aucun dieu ne pouvait atrophier.

℘ Mais Leogran se perdit rapidement dans le gouffre de l’affliction. Si son enfance se transbahuta avec douceur et quiétude tout du long, à l’aube de ses treize ans, l’effigie de sa matrice succomba à une longue et lente maladie. Sa mère, son adoré écrin d’amour mourut dans un océan de draps poisseux et purpurins, cette figure jadis si belle et lactescente abominée par un masque hideux ; bouche écarquillée sur des écumes de sang, les yeux grands ouverts sur un voile blanc, et des veinures bleuies venues tracer leurs esquisses sur des tempes moites. Son père s’effondra d’une fatigue qui n’avait que trop duré et le jeune héritier observa, muet, l’épouvantable scène.

℘ Dès lors, l’existence à Redcliff se transfigura en une toile morne et austère. La carrure naguère badine du pater se mua en un rigorisme flegmatique, plus que jamais porté par les glaces du Solvkant. L’éducation commune qu’il reçut avec son jeune frère Jedath n’abîma que plus encore leurs âmes infantiles pour entailler au burin la moindre salve de frivolité juvénile qui osât traverser leurs arantèles. Ils devaient rapidement devenir des hommes, car leur seigneur et père s’impatientait de devoir porter seul leur initiation. Précepteurs, maîtres d’armes et une kyrielle d’autres pédagogues se pressèrent alors jour après jour, semaine après semaine, et les mois passèrent, filandreux d’affection, pour ne laisser en définitive qu’une monotonie ascète corroder le castel. En âge, Dralvur envoya Leogran et Jedath se former aux Tours d’Airain.
« Pourquoi Père ne nous aime-t-il guère ? » Demanda alors le benjamin. Le plus vulnérable d’eux deux, celui qui, de la distance paternelle, souffrait ardemment. « Il nous aime, n’en doute pas. Il s’est simplement perdu sur le chemin du retour. Il s’est perdu après avoir guidé Mère dans l’empyrée des dieux. » L’héritier connaissait mieux son créateur que nul autre sur terre. « Et quand diables reviendra-t-il ? », s’inquiétait Jedath. Leogran ne répondit pas. Il ne connaissait ni ne voulait connaître la réponse. Peut-être bien jamais, songea-t-il, mais las de voir son cadet se ronger les sangs, il esquissa un sourire réconfortant.

℘ Jedath. Comme ce nom lui fut térébrant. Car, sans pareille, la monstruosité des divins lui arracha à nouveau un être cher au triste jour de la Rébellion d’Ibenholt. Il n’avait alors que vingt-trois ans, son frère vingt-et-un, tous deux devenus chevaliers, mais c’est le flanc du benjamin, qui souffrit d’une épée elfique. Occis dans la mêlée, la mort de son frère souleva le cœur de Leogran et plus encore, son fiel : c’en était terminé. Ecœuré de suivre les excentriques lubies d’Hulgard Ebonhand et de Jorkell Ravncrone que son père sustentait en dévouement borné, il supplia ce dernier de mettre fin à l’appui militaire des Snowhelm que ces guerres épuisaient et déforçaient. Ivre de douleur quant à la disparition de Jedath, il accueillit le refus du patriarche avec une ire torrentielle. Ce jour fut celui où Dralvur vit son héritier gronder l’éclat de ses aïeuls et souffler le panache de ses racines. Mais aurait-il pu se douter que pareil magma serait lâché tout contre sa personne ? Fier seigneur brisé par des affres qui le torturaient trop, il parjura sa famille en tournant le dos à l’oriflamme de l’ours pour partir loin de ces indignes guérillas.

Il chevaucha longtemps avant d’atteindre le seul breuil capable de recueillir ses plaies ouvertes : les Tours d’Airain.

NOTA BENE.
ϟ C’est un excellent fauconnier. Le meilleur qui soit dans tout le nord de Middholt et peut-être bien plus encore.
ϟ Sybarite aguerri, on le connaît pour son verbe haut lorsqu’il s’agit d’enrôler les vénustés dans sa couche. D’aucuns lui portent même des liaisons houleuses avec de jeunes éphèbes. Clabaudages qui n’ont jamais souffert de quelconques démentis.
ϟ Duelliste d’excellence, il se complait mieux dans les rixes que dans les mêlées guerrières.
ϟ Il porte une longue cicatrice sur son corps, patrimoine de la bataille d’Ibenholt qui ne devient qu’un stigmate mélancolique lorsqu’il pose le regard dessus. En souvenir de son frère éteint ce jour-là.

Relations

Dralvur Snowhelm

Illustre figure parmi cette dynastie de féroces plantigrades, Dralvur Snowhelm s’avère avant tout être son père. Et si reprendre le flambeau de la patte de cet éminent patriarche leste les épaules de l’héritier d’une profonde appréhension, rien ne saurait dévaster l’immense affection que Leogran porte en cet homme. Il l’abhorre pourtant. Il l’abomine et le renie depuis ce jour où leurs divergences se sont muées en bastions fortifiés. Écœuré par l’abnégation de son pater envers la maison Ebonhand. Écœuré de ne l’avoir que trop peu vu pleurer Jedath au crépuscule de la bataille. Écœuré de n’avoir trouvé qu’un mur d’opiniâtreté chez l’Ours Cendré. Si son cœur reste et restera à jamais enchevêtré aux racines Snowhelm, son fougueux esprit, lui, n’est guère repu des lourds et pesants griefs qui enveniment son jugement et ses opinions. Aussi, porté par son impulsivité indocile, s’est-il décidé à couper les ponts avec le seigneur son père, conscient de ne laisser qu’affliction et abandon chez celui-ci, mais bien trop fier et obstiné pour faire demi-tour. Désormais chevalier aux Tours d’Airain, Leogran commence toutefois à porter son regard vers l’horizon septentrional avec, dans ses entrailles, l’élixir des remords. Si le magma qui agite son tempérament lui interdit encore de retourner à Redcliff pour y enterrer toute âcreté, rien ne l’empêche de s’inquiéter pour le patriarche. Il a entendu les clabaudages officiels lui rapporter un trouble retournement de situation ; son père serait, contre toute attente, devenu le Conseiller Diplomatique du Roi Jorkell, et aurait, de fait, inféodé les Snowhelm à la Couronne du Freux après la mort d’Hulgard Ebonhand. Si cette décision plus que raisonnée apaise le fiel de Leogran – las qu’il est de n’avoir que trop vu souffrir la maison des Ours pour quelque ancestral loyalisme – les nouvelles conjonctures ne sont pas sans lui laisser un étrange sentiment d’insécurité. Peut-être serait-il temps qu’il revienne planter les sabots de son destrier sur la terre de ses ancêtres pour garder Redcliff en mains sûres pendant que son père guerroie à Jernvugge parmi le nid de vipères…

Jedath Snowhelm

(✝) Plus qu’un frère, Jedath était son meilleur ami. Géminés à la vie à la mort, tous deux d’un âge quasi égal, ils ont supportés ensemble les affres d’une existence qui, esseulés, les aurait détruits. Leurs caractères s’accordaient à merveille et leurs esprits chevauchaient à l’unisson en joutes verbales ou martiales, comme en estime et tendresse partagées. Son cadet, néanmoins, était celui pâtissant le plus de l’austérité tutélaire. Car si leur seigneur n’a jamais fait montre d’aucune cruauté ou déconsidération envers ses fils, Jedath semblait aux abois pour rendre fière une autorité qui, de glace, restait face à ses prouesses. Leogran, plus d’une fois, dut réconforter l’âme tourmentée de son frère dont le cœur saignant lui arrachait des colères sourdes. Et c’est ce même cœur avide de reconnaissance qui a mené Jedath aux côtés de Dralvur durant la Bataille d’Ibenholt, fendant les chairs avec une dévotion aveugle et cherchant du regard la colossale stature paternelle. Un amour térébrant l’ayant conduit aux confins de la Mort. Voilà ce qui érode la quiétude de Leogran. Avoir dû sacrifier son alter-ego pour deux ineptes causes ; la gratitude du fier et digne Ours Cendré et la victoire d’une guerre qui n’était pas même la leur. Deux croisades rendues vaines. Et à jamais, des larmes sèches couleront sur les joues de l’héritier en sachant Jedath oublié dans les limbes.

Blaze Blackthorn

Nul autre que cette femme saurait accroître l’admiration de Leogran Snowhelm. Cette dame que l’armure sied bien mieux que les opulentes toilettes des ladies, qui de sa renommée et dignité, écrase les moindres persiflages. Peu lui chaut qu’elle soit née fille, seule sa prestance l’éblouit depuis sa plus tendre enfance et son instruction aux Tours d’Airain n’a fait qu’encourager Leogran à rejoindre cet aréopage militaire. Il porte autant d’estime à leurs lointains voisins que sont les Blackthorns, qu’en la personne de la Ronce. Et pourtant. Qu’adviendrait-il de cette opiniâtre considération si l’héritier Snowhelm apprenait le secret réunissant son père et lady Blaze : une avilissante liaison les ayant unis treize années auparavant, alors même que sa mère se mourait dans sa couche ? Il est à craindre que le tempérament torrentueux de Leogran prenne le dessus sur quelconque miséricorde…

Jora Ebonhand

Leogran et Jedath ont passé de longs moments en compagnie de la colombe Ebonhand. Leur enfance n’était alors qu’éclats de rires, chamailleries et récréations venus égayer leurs mornes quotidiens. Et puis, mûrissant chacun, l’héritier Snowhelm est vite tombé sous le charme de la vénusté que devenait Jora, muant son amitié en sincère attirance qui, tout du long, n’est resté qu’un doux béguin de jeunesse. Les existences divergentes ont pourtant désunis les fils de Dralvur de la fille d’Hulgard, avortant leur fraternité et toute autre possible évolution lorsque Leogran et Jedath ont été envoyés aux Tours d’Airain. La suite, aucun d’eux trois n’aurait pu l’augurer. La guerre ayant emporté l’un et laissé les deux autres restants aussi transformés que meurtris, l’acrimonie s’est vite emparée de Leogran et Jora, chacun révoltés contre leurs pères, mais, l’héritier Snowhelm plus encore bilieux envers le monde entier. Résumant son ire en une grossière lave, il s’est détourné autant de son pater que de l’unique enfant de ce fielleux Hulgard, Némésis incontesté de Leogran. Jora n’a eu beau rien avoir avec les exactions de son géniteur, elle est toutefois devenue, aux yeux du jeune ours, de la poix dans ce congloméra abhorré par ses seuls liens de sang.
Qu’en est-il, maintenant qu’il sait la nymphette évadée de Jernvugge ? Eh bien, peut-être est-ce pour le mieux. Elle ne mérite pas tant de devenir captive qu’esclave des Freux, et si la toxine de l’animosité gâte encore ses pensées, il ne peut renier des années d’amitié. Hélas, son vœu le plus cher serait que la fille Ebonhand reste à sa place, dans quelque repaire que ce soit, loin de monter une armée pour faire éclater la révolte contre le roi Jorkell. Une bien fruste utopie pour l’héritier Snowhelm, qui en plus de se fourvoyer, reste ignorant du réel dévouement que son père porte encore à Jora.

Enélianne Ebonmere

Il ne la connaît que trop peu. Cette tante, il ne l’a aperçue qu’au travers des récits de sa mère, narrant l’enfance qu’elle avait eue avec sa sœur comme d’une aubade à la gaieté. Mais de chair et d’os, jamais il ne l’a vue. Il la sait désormais veuve, mère de trois petites filles et partie en quête vers le Nord. Pourquoi ? Pour qui ? On lui a rapporté des rumeurs et ragots qui ne lui plaisant qu’à moitié ; sa tante aurait pour desideratum de rencontrer son père. Inconnue et étrangère avant d’être une figure de parenté, il craint que la belle n’aille réclamer au patriarche Snowhelm et beau-frère de la sylphide une quelconque aide financière. Sans toutefois se douter de la profondeur abyssale des réelles ambitions d’Enélianne. Pourtant, si chacun venait enfin à faire connaissance, un étrange dénouement pourrait avoir raison de la Cohérence. Bien que diamétralement opposée au physique de feu sa sœur, lady Ebonmere pourrait inévitablement rappeler la douceur maternelle manquant tant à Leogran et, de fait, réussir à dompter le fougueux adonis pour en faire un allié. De cœur ou de manœuvre, les dieux seuls le savent…

Elidyr Skyler

Un bâtard Ebonmere. Et la fable aurait tout aussi bien pu s’arrêter là. Mais Elidyr, aussi illégitime soit-il, est vite devenu un précieux compère pour Leogran. Appréciant le raffinement du jeune sylphe et son inégalable douceur, l’héritier Snowhelm a rapidement vu chez le bâtard une source d’inspiration qu’il n'a jusqu'alors trouvé chez aucun autre. Un zéphyr empathique, girond et harmonieux, bonifiant les angles rudes de Leogran taillés par son éducation austère. L’Aède est à ce jour la seule liaison entre le fils et le père Snowhelm, mais plus encore qu’un héraut, il est à n’en point douter sous la protection de Leogran qui, peiné d’apprendre le départ de l’adultérin loin de sa demeure, s'est porté garant à offrir son absolu soutien. Plus encore maintenant qu’Elidyr est devenu un bellâtre maudit par une cruelle fatalité, tel un triste héros excavé de quelque mythe fantasmagorique, dont le charme damné n’est pas sans laisser le sybarite totalement indifférent.

Précisions

Avatar : Très peu négociable. Suggestions d'avatars : La cire du personnage ayant été affinée dans les grandes lignes par la physionomie de Oakes, je vois mal une autre tête lui convenir. Mais vous pouvez toujours tenter de me vendre une autre gueule. Razz

Niveau RP exigé : Très bon. Présence exigée : Régulière.

Dralvur Snowhelm

Ours cendré d'Ibenholt

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ARRIVÉE : 29/03/2014
MURMURES : 1013

Sujet: Re: (M) LEOGRAN SNOWHELM ℘ Fils héritier. (INCARNÉ) Mer 21 Mai - 4:25

Fiche Quantum Mechanics Salutations ! J’annonce direct la couleur: scenarii très – très – très attendu. Autant vous dire que mes exigences seront à la hauteur du personnage. Plusieurs évolutions sont possibles avec Leogran, bien que quelques pistes soient déjà données par le biais des liens, car si une incontestable liberté est évidemment offerte, il est crucial de garder en tête une certaine ligne de conduite. Je parle des différentes strates couvrant l'éphèbe. A commencer par son caractère. Torrentiel. Magmatique. Pourquoi ? Parce qu’il est jeune. On oublie souvent le manque d’expérience dans le jeu de certains personnages, et quand bien même les hommes Snowhelm se tirent une notoriété de seigneurs taciturnes, nul ne peut échapper à l’effervescence de la jouvence. Il a fait la guerre, oui, il a eu son lot de meurtrissures, oui, mais son caractère souffre encore d’une certaine fougue (le bougre n’a que 24 piges). De plus, sa rancœur envers certains chapitres de sa vie ne font qu’accroitre ses décisions drastiques et son opiniâtreté. Sa fierté, ensuite. S’il a renié son père, il n’a guère renié ses racines. Héritier, ça, il le garde bien en tête, et nul ne saurait spoiler son patrimoine ou ses terres, comme nul ne saurait insulter sa maison. Vous pouvez largement le jouer zélé sur ce point, son orgueil est des plus effectif ! Ses tendances sybarites. N’y palliez pas. S’il est dit que les genres lui importent peu, c’est qu’il faut s’attendre à le jouer tel quel. Sans non plus tomber dans de la dépravation grossière et caricaturale, il est inutile de le faire pencher vers un bord plutôt que l’autre par simple commodité. Leogran apprécie la beauté, quelque soit l’écrin qui la porte, homme ou femme, et bien que ses titres et son extraction noble le gardent des lapidations, il est évident que certains de ses attraits passent moins bien aux yeux de la société nobiliaire. Rogue mais fin, il sait se faire discret sans non plus crouler dans un océan d’opprobre. Concernant le niveau d’écriture, j’en demande un très bon. Syntaxe, grammaire, orthographe et tout le ramdam habituel, vraiment, si vous ne vous sentez pas à la hauteur, évitez-vous la peine de me voir feuler. Une présence régulière serait souhaitable et quant au nombre de mots, peu m’importe (disons au minimum 500, quand même, eh). Oakes a joué dans plusieurs formats audiovisuels traitant de l’époque moyenâgeuse (je prends large, je sais ). Mais je le préfère dans The White Queen, quoi que certaines images des Piliers de la Terre puissent aussi être exploitées ! Si le laïus ne vous a pas provoqué une indigestion et si le personnage vous branche, n’hésitez vraiment pas. Je vous assure, après l’effort, le réconfort. S’il vous vient donc dans l’idée de tenter l’aventure, n’oubliez surtout pas de me contacter par MP auparavant ! Que l’on discute ensemble du personnage, que l’on fasse connaissance, bref, qu’on s’pose trankil tavu. Merci pour votre lecture !