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 Divinités & Dons

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Queen Of Crows

Dame Fatalité

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ARRIVÉE : 24/11/2013
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MessageSujet: Divinités & Dons   Divinités & Dons EmptyMar 18 Mar - 17:21



Dieux de Middholt



Genèse

Au commencement, il n'y avait que neiges et cendres. Deux forces antagonistes qui déchiraient les entrailles du Berceau. De leur guerre naquit un volcan et en son sein naquit le Démiurge. Solitaire, mortifère et placide, il erra dans l'éternité de cendres et de glace des millénaires durant, ses os se couvrant d'écorce de chair, ses chairs s’irriguant d'alluvions de sang, son esprit brûlant d'un feu de conscience qui lui fit ressentir sa solitude. Et quand il décida d'engendrer, il n'y parvint pas. Désespéré, désemparé, ivre d'une vie qu'on ne peut partager avec personne, il arracha de ses propres mains le noyau brûlant qui creusait sa poitrine et le jeta sur le sol enneigé. Terrassé, sans vie, il s'effondra sur le tapis de neige, son échine, formant les montagnes, son sang, les océans, son regard, le bleu du ciel et ses phalanges, les falaises escarpées. De sa solitude, plus grande que nature, naquit la vie, une vie qui n'aurait pas été possible sans son sacrifice. Quatre divinités avaient émergé de ses chairs nécrosées et lorsqu'ils se rencontrèrent, près du cœur brûlant de leur Père, ils surent que le monde qu'il leur avait légué était le leur. Qu'il leur incombait à eux de le façonner, de le bâtir et de le diriger, d'engendrer à leur tour pour ne jamais ressentir la solitude qui avait poussé le Démiurge à se priver de vie.

Tous tentèrent d'enfanter, de fertiliser la terre d'êtres qui grandiraient et vivraient, comme eux le faisaient. La plus intelligente, Xyhmis, fut celle qui y parvint. Dans sa grande sagesse, elle avait été patiente, avait attendu son heure et l'alignement du soleil avec la lune. Elle parvint à arracher à l'astre du jour sa couronne et à l'astre de la nuit son sceptre, en les portant, elle engendra les Elfes, ses enfants, les premiers êtres vivants dotés d'une conscience, comme la leur. Comme les dieux, ils étaient immortels, moins puissants, mais intelligents, brûlant d'envie de connaître le monde qui s'offrait à eux, brûlant d'envie de le façonner, eux aussi, à leur image. Mais jalouse, Catharis menaça sa sœur, lui priant de lui révéler le secret de la Création, pour qu'elle puisse créer à son tour. Xyhmis lui refusa cette requête, consciente de l'impatience, de l'instabilité de sa sœur. Folle de rage, Catharis travailla sans relâche pour découvrir le secret de la Genèse. Quand elle cru l'avoir découvert, elle façonna des êtres de ses mains en portant la couronne de la lune et le sceptre du soleil ; les êtres qu'elle fabriqua étaient l'exact inverse de ceux qu'avait créées sa sœur : mortels, instables, envieux et impulsifs. Mais ils restaient ses fils, ses enfants... Elle saurait s'en contenter et les aimer.

Veloth, garçon solitaire et lumineux, fut le seul dieu à abandonner l'idée de créer des êtres à son image. Il offrit plutôt au monde les animaux, les créatures vivantes qui habitent la nature et la rendent aussi belle, aussi merveilleuse. Dagoth, lui, perfide, chaotique et erratique, n'avait ni la patience de Xyhmis, ni la persévérance de Catharis. Envieux de ses sœurs, il préféra la facilité : il subtilisa le cœur brûlant du Démiurge, son Père, et le jeta au cœur de l'Alenefjell, prodigieux volcan, d'où émergèrent les œufs de ses propres enfants : les Dragons. Mais il n'était pas prêt à montrer à ses frères et sœurs le fruit de son labeur, il cacha les œufs au creux des entrailles tièdes de Solvkant, où ils attendraient son retour pour éclore et le saluer comme Père et Maître.

La compétition avait révélé chez les dieux un sentiment qu'ils ne se connaissaient pas jusque-là : l'envie. Catharis, rongée par l'infériorité de ses créatures, se souleva contre ses frères et sœurs, désireuse de concentrer entre ses mains toutes les créatures de ce monde, qu'elles aient été enfantées par elle ou par sa fratrie. Elle fit s'abattre sur le monde un âge de glace et de neige, un âge si froid qu'elle en éteignit les entrailles du volcan qui rejetèrent, à ses pieds, le cœur solidifié et rocheux de son père. Prise d'un accès de folie, elle façonna grâce à lui des êtres si semblables aux dieux, si puissants et si destructeurs que les trois autres dieux en furent révulsés : on donna à ces cinq enfants de Catharis le nom de Rois Maudits, et ils formèrent, à eux, la Pentagénie, une triste alliance qui allait faire sombrer le monde des dieux.

La guerre de Catharis contre ses frères et sa sœur fut sans appel : les Premiers Hommes étaient à ses côtés, commandés par les Rois Maudits, de sanguinaires généraux. Veloth fut le premier à mourir. Comme trophée, Catharis lui arracha les os, les fit porter dans sa forteresse sise sur l'île de Daìnnkastal. Dagoth, fut le second à rendre l'âme. Non sans s'être battu avec force, faisant émerger de leur berceau de roche ses fils, les Sept Seigneurs dragons, qui décimèrent les rangs des Hommes avant de retourner se terrer dans les entrailles de la montagne. Elle réserva le même traitement à Dagoth. Des os de ses frères, elle fit fabriquer un trône, sur lequel elle s’assoyait pour gouverner ses troupes et faire se mouvoir ses armées. Xyhmis, était le seul obstacle restant. Une fois éliminée, Catharis dominerait enfin toutes les espèces vivantes et toutes, devraient saluer sa puissance et sa supériorité. Mais Xyhmis ne voulait pas offrir la victoire à sa sœur, elle se cacha dans les forêts australes, déterminée à échapper à sa surveillance. Effrayés par la puissance de Catharis, certains Elfes trahirent leur Mère et se réfugièrent derrière les remparts de Daìnnkastal, sous l'aile protectrice de la déesse de l'hiver qui jubilait de cette trahison. Attristée par cette nouvelle, Xyhmis jeta sur ses enfants déloyaux une malédiction : ils resteraient Elfes, mais mourraient mortels. Privés de leur immortalité, ils s'éteindraient après quelques siècles, comme les Hommes, contemplant leur déchéance et agonisant seuls, un moment où ils auraient tout le loisir de méditer leur trahison. Mais l'heure n'était plus à la vengeance, désormais. Désireuse d'en finir et de ne pas offrir à sa sœur le plaisir de récolter ses os, elle entreprit une longue marche avec ses enfants fidèles, de la côte à la forêt léthargique. Et là, au milieu des arbres et de la clairière, elle s'enleva la vie, offrant ses os à la nature si belle que son frère Veloth avait créée. Son corps devint écorce, son sang devint sève, ses os devinrent les branches d'un arbre magnifique à la robe blanche et pure.

Catharis avait gagné. Mais tout comme elle fut le fardeau du Démiurge avant elle, la solitude la rongea, se chevilla à la déesse devenant chaque jour plus insupportable, plus lourde à porter. Quand les remords firent surface, Catharis sut qu'elle avait été cruelle, malveillante et sans pitié, qu'elle avait fait une erreur. Sa forteresse de Daìnnkastal reposait désormais sur les ossements de ses ennemis, son palais s'emplissant d'un froid prodigieux, un gouffre de vide sans fin qu'elle ne parviendrait jamais à habiter. Folle de solitude, elle plongea ses cinq fils maudits dans un sommeil profond, les fit se reposer dans l'immense salle du trône de son château noir et, après les avoir embrassés, entreprit un pèlerinage jusqu'aux confins de Septentrion où elle s'enleva la vie à son tour. Les Premiers Hommes et les Elfes tenaient désormais l'avenir du monde entre leurs mains, enfin libérés de l'autorité de leurs parents. Les Premiers Hommes, choisirent de partir, abandonnant Middholt à son triste sort. Après tout, quel avenir y avait-il pour une terre qu’on appelait maintenant le Cimetière des dieux ?

Catharis, à travers son sacrifice et sa rédemption, avait pourtant offert à ses enfants un cadeau que nul autre ne pourrait leur offrir. Si elle avait injustement arraché les os de ses frères pour en faire un trône, elle offrit néanmoins à ses enfants le cœur brûlant de ses semblables, véritables Feux, qui maintenant les animaient d'une force nouvelle. Puisque dans la tempête indomptable Catharis, n'avait pas oublié ses enfants, leur tendant un flambeau rougeoyant en espérant qu'ils pourraient, comme elle l'avait fait, retrouver leur chemin dans l'hiver d'un monde bien sombre...

Catharis

Déesse boréale, fille de Septentrion, Reine d'Himéal, Catharis est la déesse de l'hiver, la patronne du nord et, par extension, d'Ibenholt. Associée au froid et aux temps difficiles, elle symbolise néanmoins l'endurance et le courage, puisque ceux qui s'installent entre les sillons glacés de Solvkant et y survivent, ne peuvent qu'être les plus résilients de tout le continent. Mère de tous les nordiens, donc, mais aussi amante de tous les coureurs des glaces qui prient pour recevoir la gracieuse chaleur de son sein sur leur peau gelée. On la représente comme une guerrière vêtue d'une robe agrémentée d'un corset de plaques métalliques repoussées d'argent poli et serti de saphirs et de diamants étincelants. Accompagnée d'un loup des neiges et d'un dragon aux écailles d'obsidienne, elle tient entre ses mains délicates une hache de guerre et une couronne sur laquelle sont gravés des cristaux de neige. Associée à la mort des combattants (contrairement à son frère, Dagoth, qui représente la mort « de paille »), on chante néanmoins ses louanges, puisqu'elle symbolise la mort valeureuse, celle qui nous étreint de son froid glacial après une bataille difficile. On raconte que lorsque les soldats meurent, elle les enveloppe de sa cape neigeuse, les plongeant dans une léthargie salvatrice grâce à sa voix et aux berceuses qu'elle chante pour libérer les âmes de la terre afin qu'elles gagnent le Havre. Certains prétendent qu'on peut l'apercevoir lors des journées de blizzard, sa grande silhouette grise se confondant presque avec la neige et l'horizon, son compagnon canin hurlant à ses côtés et sa voix cristalline perçant le souffle du vent pour guider les pas des voyageurs égarés jusqu'au feu salvateur ou à l'abri convoité. Le culte catharien est assuré par un ordre de prêtresses, les Filles de Cathar, qui sont choisies dès l'enfance pour s'occuper des nombreux temples dédiés à la déesse. Celles-ci sont sacrées, ne doivent en aucun cas avoir d'amants, doivent demeurer pucelles et ne peuvent enfanter. Si un homme les touche ou leur ravit leur virginité, le coupable est aussitôt châtré et exécuté.

La déesse Catharis est celle qui offrit aux enfants nés sous son sein (lors de la saison qui lui est attribuée) le Feu de Septentrion, un don qui rend tous ceux qui le possèdent charismatiques, persuasifs et envoûtants, comme elle le fut, jadis, lorsqu'elle leva des armées contre ses frères et sa sœur. Si elle fut celle qui permit aux Hommes d'avoir des dons, elle est surtout remerciée en tant que patronne des Fils de Septentrion. Et sa rédemption, après la Guerre des Immortels, est encore une valeur fondatrice des vertus humaines qui sont le plus louées.

Veloth

Veloth est le dieu-enfant, la seule divinité adorée sous des traits juvéniles. On le surnomme le Dieu-Enfant, le Renaissant ou le Premier Sacrifié et on associe à lui les vertus cardinales de l'innocence, de la bienveillance et de la charité. Patron des voyageurs, des nomades et des exilés, il est celui qui pardonne toutes les offenses à un esprit pur et au repenti. Représenté sous la forme d'un enfant rieur, il tient entre ses doigts une flûte et un panier de fruits. Sa tunique est brodée de bas-reliefs représentant les animaux de la forêt, surtout des oiseaux, le soleil et la lune ainsi que les quatre saisons. En tant que Dieu-Enfant, Veloth est considéré comme le dieu rassembleur, celui qui unit ses frères et sœurs par son innocence, sa jeunesse et sa bonne humeur, mais aussi parce qu'il symbolise le cycle : le cycle de la vie, le cycle du bien et du mal, le cycle du pardon et de la vengeance... Veloth n'est la divinité patronne d'aucune cité et son culte est plutôt propre à chacun, puisqu'il ne représente pas, aux yeux des habitants de Middholt, un aspect qu'ils jugent important de la vie (comme l'est la guerre par exemple). Pourtant, il est célébré sur les routes où il n'est pas rare de voir des corbeilles de fruits déposées sur des autels improvisés, ainsi que des cierges. En tant que patron des nomades, des voyageurs et des troupes itinérantes, il est celui qu'on prie lorsqu'on est perdu ou en danger...

Veloth n'a pas de culte particulier. Il possède une statuette dans les temples et est honoré lors de fêtes religieuses, mais son culte se fait surtout sur les routes ou en haute mer, où il est sensé protéger les marins. Leur perception diffère d'ailleurs étrangement de celles des continentaux, puisque les marins voient Veloth comme un enfant capricieux et cruel qui s'amuse à faire déferler les vagues tout autant qu'il s'amuse à briser les bateaux. Mais lorsqu'un navire se sort indemne d'une tempête, on lui prête volontiers des qualités de de miséricorde et de clémence.

Veloth est celui qui, grâce à son cœur, offrit le Feu du Levant. Ceux qui sont nés sous sa protection peuvent transcender les cycles du temps de leurs yeux perçants, entrevoyant des parcelles d'avenir et des fragments de prophétie. Étrange don et aussi capricieux que l'enfant, puisque tous possèdent ce don à des degrés différents, certains étant plus sensibles que d'autres à leurs visions de l'avenir.


Xyhmis

Mère des Elfes, elle est la patronne de Sorhelm. Déesse-Mère, Épouse-Solaire, Fille du Zénith, elle est également connue, chez les Elfes, sous son véritable nom, Xehmethys. Déesse de l'été, elle symbolise la fertilité, l'avenir et la régénération. Patronne des arts, de l'ingénierie, déesse de la sagesse, elle est la créatrice des Elfes et fait l'objet d'un culte complexe et fervent chez eux. Chaque année au solstice d'été, les enfants de la déesse entreprennent une longue procession qui les mènera dans la clairière où Xyhmis se sacrifia, pour déjouer les plans de la Déesse Rebelle (Catharis est nommée ainsi chez les Elfes austraux). Là-bas, ils récoltent la sève de l'arbre qu'elle a façonné de ses os et de sa chair, un arbre que les Elfes appellent le Grand If. Dans la sève grenat au goût sucré s'incarne la déesse, lait nourricier dont elle abreuve tous ses infants, leur garantissant paix, prospérité et sagesse pour l'année à venir. Des offrandes lui sont faites, objets précieux, gemmes et calices d'or, des lanternes sont allumées autour de l'if et les Elfes y veillent trois jour durant, ne dormant point, ne mangeant point et priant, leurs mains levées vers le ciel. Chez les Hommes, le culte de Xyhmis se présente plutôt sous forme de célébrations. Elle est adorée chez les Hommes pour la fertilité qu'elle offre à la terre, pour les récoltes nourricières qu'elle engendre et les moissons abondantes provoquées par un été chaud, cadeau direct offert par la déesse à tous les êtres vivants de Middholt. Si elle est célébrée par les Elfes pour son caractère antagoniste à Catharis, pour ses actes durant la Guerre des Dieux, elle est peu vénérée pour son sacrifice chez les Hommes qui ne voient pas en Catharis la divinité chaotique et malveillante qu'on conçoit chez les Elfes. La dimension rédemptrice de Catharis est beaucoup plus considérée chez les Hommes qui y voient un message d'espoir. Xyhmis ne revêt donc pas pour eux ce caractère fondamentalement bienveillant, protecteur et  héroïque. Toutefois, la déesse est associée à la maternité, à l'enfantement et à la protection et rares sont les femmes qui ne font pas appel à elle pour voir leur fertilité s'accroître.

Xyhmis, par son sacrifice, a offert à ses enfants et aux Hommes les Feux du Midi qui prolongent la vie et chassant la mort. Par procuration, tous les Elfes possèdent ce don et comme ils ont été gratifiés de l'immortalité dès leur naissance, ils ne peuvent bénéficier des autres Feux. Si les Elfes austraux peuvent vivre des millénaires durant, les Enfants maudits de Xyhmis, les Elfes nordiques, ne vivent que quelques siècles, comme les Hommes qui possèdent ce don.


Dagoth

Dieu des Brumes, Façonneur de Changement, Moissonneur, Père des Dragons, Dagoth est sans conteste la divinité qui possède le plus de visages. À la fois bon comme mauvais, il est craint pour son caractère changeant, tantôt vengeur tantôt clément, pour son tempérament vindicatif, comme les aléas de l'automne qui oscille entre beauté vivante et laideur morne. Dieu des morts de paille (les morts naturelles ou causées par la maladie), il récolte les âmes comme on moissonne les fruits de la terre aux premiers jours de l'automne. Divinité des changements radiaux, il incarne l'entropie et le chaos, la colère et la vengeance, l'ombre et la lumière, bref, la dualité du monde. Créateur des dragons, il fut le second dieu à mourir de la main de Catharis, non sans avoir lutté avec acharnement et cruauté, non sans avoir fait déferlé sur la terre un orage d'acier et de flammes. On vénère Dagoth pour les moissons qu'il apporte, pour les récoltes qu'il offre et pour le sépulcre qu'il incarne, puisqu'il est aussi le dieu des funérailles et le Moissonneur des âmes des défunts. Son attribut est le feu et on lui impute ce don qu'il a fait aux Hommes pour qu'ils se réchauffent et survivent. De nature erratique et impitoyable, Dagoth fait néanmoins l'objet d'un culte régulier, voire quotidien, puisque la mort est chose du commun sur Middholt. En tant que passeur d'âmes, il est celui qui transporte les âmes jusqu'à Catharis, unique juge des bons et des mauvais. Sans son concours, donc, pas de Havre pour les âmes, que l'oubli et la damnation mémorielle. Dagoth incarne également la mémoire, l'oubli et les brumes de l'inconscience, puisqu'on dit que lorsqu'un être sombre dans l'inconscience, c'est aux côtés de Dagoth qu'il se retrouve, flottant quelque part entre les cieux et la terre, dans le royaume des limbes du dieu de l'automne. Dagoth est également le dieu de la chasse, mais aussi celui des maladies, dans le but de rappeler aux mortels qu'on peut, un jour, posséder l'abondance et, l'autre, mourir dans le manque.

Dagoth est responsable du Feu du Couchant, un don qui permet à ses protégés de changer d'apparence de façon limitée, comme le font les feuilles des arbres l'automne. Ses infants peuvent à loisir changer la couleur de leurs yeux, de leurs cheveux et, certains, peuvent même modifier légèrement la structure de leur visage afin de se soustraire au regard carnassier de leurs prédateurs.

© Quantum Mechanics


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