La nouvelle version de Frostfall est arrivée ! Rendez-vous dans ce sujet pour en savoir plus.
Avis aux nobles, n'oubliez pas de recenser votre maison ici, si ce n'est déjà fait.
N'oubliez pas de voter pour Frostfall sur les top-sites une fois toutes les deux heures ! Plus on a de votes, plus on a de membres.
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Ethaìn Lonerider

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ethaìn Lonerider

Reine de Hvittjell

Ethaìn Lonerider
Reine de Hvittjell
Afficher
ARRIVÉE : 25/06/2014
MURMURES : 79



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 20:44



Ethaìn Lonerider



 

Jeux des apparences

Que la grâce des dieux t'accompagne, Ethaìn Lonerider, fille du Septentrion. Que leur clémence te préserve des complots et de la périlleuse valse des poignards, toi qui a déjà affronté trente-six hivers et s'en est sortie indemne. Que tu sois Reine de Hvittjell ou simple vagabonde, sache que c'est d'un œil intrigué que te jaugent les rois et les reines de jadis, passant tes jours au fil d'une rapière qu'on appelle Jugement. Puissent les augures du mois de Janvier t'apporter prospérité et bonne fortune et puisse tes congénères de Hvittjell t'apporter leur appui et leur soutien dans les intempéries. Souhaite que ton statut de noble t'empêche de glisser dans le gouffre de l'oubli et puisse ton cœur éperdu de veuvage trouver libération dans les neiges des Terres du Nord. Bienvenue au Cimetière des dieux, bienvenue sur Middholt, bienvenue sur l'échiquier...

Jeux des ambitions

Moralité :

La force est la loi de ce monde. Non pas son dessein, mais sa logique. Une logique qui peut être aussi belle et pure que l'éclat et le tranchant d'une lame habilement maniée. De la force naît la confiance. De la force naît l'ancrage. De la force naît l'élan.

Nous, enfants de Hvittjell, nous avons accepté et embrassé cette loi intemporelle, et en épousant sa rude et simple élégance, nous avons conquis notre liberté. Il n'est pas de destin plus digne, d'ambition plus honorable. Ainsi vivons-nous, puissants et debout, que nous soyons homme ou femme, jeune ou vieux, noble ou humble paysan.

La force réside dans le corps, mais aussi dans l'esprit et dans le coeur. J'ai fortifié mon bras, j'ai fortifié mon esprit, j'ai fortifié mon cœur, et j'ai mis ma force à l'épreuve d'une vie mortelle, pavée d'obstacles et de passions, de combats et de déceptions. J'ai connu le feu de la douleur. J'ai souffert les armes à la main, souffert l'enfantement, souffert le deuil de ceux qui me sont chers. Comme une épée dans les flammes de la forge, j'ai été façonnée pour affronter la logique de ce monde...

... Et tracer ma trace, libre, mais accomplie. Engagée, dévouée, pour mon propre bonheur, par celui de mon peuple - car il n'est nulle joie authentique et durable dans les plaisirs égoïstes, rien qu'un soulagement éphémère et trompeur de nos propres manques... comme j'aurais voulu le faire comprendre à ma fille, si aisément étourdie par les futilités de la vie mondaine, ma douce Cienna jamais vraiment sortie de l'enfance. Mais je ne suis qu'une femme, une simple humaine, fussé-je reine et fille du Septentrion ; l'erreur et l'échec sont mes compagnons de route. Parfois, la force consiste à savoir dompter son propre entêtement pour changer de voie.

Hvittjell est et restera ma raison d'être. Après avoir accepté de défier mon père, j'ai revêtu la couronne comme on revêt son manteau de noces. Quand mes voisins s'entre-déchirent, l'intérêt de Hvittjell guide mes choix, plutôt que mes sentiments à l'égard de tel ou tel roi. Mais l'intérêt de Hvittjell, découle de son essence profonde, il ne se limite pas à des greniers pleins et des bourses replètes. C'est en étant fondamentalement fidèles à ce que nous sommes que nous avançons et bondissons à travers les remous de l'Histoire. Puisse les dieux me garder toujours la force de préserver notre liberté et notre honneur.

Je ne goûte pas le sang, ni la douleur de mes ennemis. Je goûte la pulsion de la vie dans mes veines et dans chaque homme, chaque animal, chaque brin d'herbe de nos terres fertiles. Cet élan primordial, c'est la puissance grisante de l'étalon qui défie et domine son rival. Si vous attaquez mon peuple, ma harde, si vous portez atteinte à mon honneur ou mon indépendance, cette puissance vous frappera, et ce sera sans doute la dernière chose que vous verrez dans votre vie mortelle.

Allégeance :

En Middholt il n'est point de choix simple et facile. Malgré mon amitié pour les Dragonfall, nos alliés d'hier, j'ai choisi de marier ma fille au beau-frère de Jorkell Ravncrone. Parce que notre force dépend des autres et pas seulement de nous. Parce qu'une terre en guerre perpétuelle est une terre stérile. Les récoltes, le commerce, les nouvelles générations ne peuvent être sacrifiés à une cause supérieure que dans certaines limites. Il faut entre le chaos et l'ordre un équilibre. Et l'avenir est trop brumeux pour déterminer, aujourd'hui, dans quelle direction canaliser notre force. Je choisis de ne pas choisir. Je choisis d'observer. Pour l'instant. La destitution de Jorkell ne me satisfera que si elle offre un meilleur équilibre à Middholt, non si elle plonge nos royaumes dans un bain de feu et de sang plus destructeur que créateur. Et Jora Ebonhand n'est qu'une enfant. Je n'oublie pas la menace que représente un conquérant rusé, ni les offenses qui ont été perpétrées contre Askevale, mais il y a un temps pour chaque combat.

Demain peut-être, il en ira autrement…



Jeux du passé



Avez-vous seulement idée de ce que c'est que d'être reine ?

Quand j'étais enfant, la question ne se posait pas. Perdue au milieu d'une nombreuse fratrie, la perspective de défier un jour mon père n'avait pas de raison de me préoccuper outre mesure. Sans le savoir pourtant, je me préparais déjà. Comme si je savais, au fond de moi, ce qui m'attendait. Je ne savais rien ; j'écoutais mon instinct. Je voyais des étalons se battre pour la suprématie d'un troupeau et la force de leur race. Et les préceptes de mes parents se frayaient lentement un chemin dans mon crâne têtu : en ce monde, la force fait loi, et la force se conquiert dans la lutte. Alors je luttais, contre tout, contre les autres, sans haine, mais avec la soif de mordre à pleines dents dans ce que la vie pourrait m'offrir. Il ne vint pas à l'esprit de quiconque de décourager mon tempérament belliqueux tant cela correspond aux moeurs hvittléennes. J'avais par bonheur assez de jugeote pour entendre mes leçons sans avoir besoin d'être dressée pour cela, curieuse de toute chose, et consciente, déjà, que le savoir était une forme de force invisible, capable de dresser des châteaux et d'abattre des armées. Les récits historiques me fascinaient, tout comme la poésie des sagas guerrières ; il y avait une autre forme de force dans ces mots, qui me pliait, me soulevait, me tordait dans les affres d'émotions brûlantes.

J'appris ce que je pouvais avec une énergie torrentielle qu'il fut bientôt temps de canaliser par une formation martiale. A l'âge de sept ans, je fis mes adieux à mon père, Arald, à ma mère, Brunilde, et à ceux de mes frères qui étaient encore trop jeunes pour me suivre au Val d'Airain. Quand je repense à cette époque, c'est toujours le souvenir de mon bien-aimé frère Eimar qui revient par-dessus tout le reste, le froid, la fatigue, la soif, la douleur dans tout mon corps mené à ses extrêmes limites. Mon bel et blond Eimar avec ses yeux de ciel clair, ses piques incessantes et son sourire protecteur, rongeant son frein à chaque fois que j'en bavais, mais assez discipliné pour me laisser manger mon pain noir comme tous les autres, seul moyen de faire mon apprentissage comme un homme. Il ne lui eut pas été permis d'agir autrement, de toute façon. Mais son regard soutenant me donnait de la force quand, au sortir d'un exercice éreintant ou d'une engueulade musclée, je clopinai dans une allée glaciale, les dents serrées pour ne pas geindre ni hurler. J'avais une volonté de fer, mais les Chevaliers d'Airain avaient pour mission de la transcender, comme du métal solide que l'on martèle sur une forge, pour en faire une lame parfaitement mortelle.

Mon autre frère présent, Edric, m'ignorait positivement. A trop fréquenter en ces lieux de jeunes hommes issus du reste de Middholt, il s'était laissé convaincre que les femmes n'étaient peut-être pas les égales des hommes, et n'aimait pas beaucoup entendre ses camarades se moquer de lui lorsqu'ils me croisaient – la seule vue d'une fille en armure déchaînant leur dégoût et leur hilarité, les plaisanteries et quolibets fusaient quand ce n'était pas les tentatives d'humiliation ou d'attouchement. Edric n'était pas assez fort en lui-même pour opposer son propre jugement à celui de sa clique. Je lui en voulais, non de ne pas prendre ma défense, mais d'être faible, et le fossé se creusa peu à peu entre nous.

Nous sommes sortis de là, mes frères et moi, en Chevaliers accomplis. Alors que je croyais toucher au but et atteindre en quelque sorte une révélation à mon entrée dans ma vie de femme, je déchantai rapidement. En mon absence, le monde semblait s'être mis à tourner à l'envers, et l'on m'avait fiancée sans me demander mon avis à un bellâtre Greymoor. Je ne comprenais plus rien à rien ; toute cette force, à quoi me servirait-elle donc en tant qu'épouse ? Ne voyaient-ils pas que j'étais un cheval sauvage, et non une jument poulinière tout juste bonne à accepter une longe et mettre bas ? Lorsqu'il parut devant moi, je lui crachai au visage et jurai de ne jamais le laisser planter sa queue entre mes cuisses. Les choses auraient pu dégénérer si je n'avais appris à me dominer pendant ma longue et âpre formation… sans quoi Thorek aurait sans doute essuyé un peu plus que la souillure de ma salive et de mes mots. Je fuguai pour me réfugier chez les Chevaliers d'Airain et entrer dans leur ordre, cherchant désespérément un sens à donner à la flamme qui brûlait en moi.

Mon impulsivité ne me conduisit nulle part ailleurs que là où je le devais : mon propre père vint me rappeler à la réalité de mon rang et de mes obligations, et m'arracher aux chimères dont je m'étais bercée, trop habituée à la liberté que l'on m'avait accordée dans ma prime jeunesse. Il brisa à bon escient mes illusions, me donnant l'une des plus importantes leçons de ma vie. J'étais née Lonerider, et princesse, et il me fallait chevaucher ce destin pour être véritablement libre.

Il s'avéra que le mariage n'était pas une chose aussi désastreuse que je le redoutais, au même titre que la maternité, et je trouvai finalement le sens que je cherchais dans la direction que j'avais fuie, auprès de Thorek et notre fille Cienna. Il me semblait qu'il me manquait quelque chose, mais mon énergie était si puissamment captée par mes rôles d'épouse et de mère que je ne m'en inquiétais guère. Les années glissèrent sur nous, emportant mon époux d'une pneumonie, ma mère d'une faiblesse du cœur, et bientôt mon cher Eimar qui malgré toute son habileté n'avait su triompher de notre père encore si plein de sève à l'aube de son cinquantième hiver. Et pourtant, il le laissait si affaibli que nul ne doutait du deuil royal qui frapperait bientôt notre famille. La seule incertitude était le nom de son successeur.

Je n'avais aucune idée de ce que c'était que d'être reine, jusqu'au soir où mon père me demanda de le tuer.

Je sens encore la fragilité de mes doigts entre les siens alors qu'il formulait sa requête, étendu sur sa couche, souffrant sans se plaindre de sa jambe brisée. Cet homme remettait sa force entre mes mains, et c'était son dernier acte en tant que souverain. Non pas mon père, mais un roi prêt à faire ce qu'il devait, et le voulant, de toutes les fibres de son être. Un homme. Un roi. Ils n'ont pas tous été si fiers, si dignes, les rois Lonerider, mais celui-ci avait assez de force et de clairvoyance pour agir encore au nom de son peuple, au seuil de sa propre fin. Je ravalai mes larmes. Il n'y avait nulle gloire, nul plaisir à attendre de ce qu'il me demandait d'accomplir. C'était simplement le destin que je devais chevaucher, et cette fois je n'avais aucunement l'intention de m'enfuir. Mes plus jeunes frères n'avaient pas l'étoffe nécessaire pour lui faire face, Edric encore moins, qui glissait sur une pente déplaisante depuis qu'il avait quitté les Tours d'Airain farci de frustrations vis-à-vis du charisme supérieur d'Eimar et de mes propres talents martiaux. J'étais une lame, et j'étais bien affûtée ; je ferai ce qui devait être fait.

Sept jours plus tard, nous livrâmes bataille. Ni l'un ni l'autre ne portions de casque, pour que les identités du vainqueur et du vaincu éclatent à la face des hommes et des dieux, conformément à l'usage. Je dois avouer que du haut de ses cinquante années, Arald Lonerider était un formidable combattant. C'était à croire que chaque hiver passé l'avait étoffé, durci, tanné et grandi, jusqu'à faire de lui un chêne noueux, indéracinable, aux branches souples et cinglantes. Même blessé, il pouvait se targuer d'une puissance et d'une habileté terrifiantes qui avaient eu raison d'Eimar. Je devais lever les yeux pour rencontrer son regard, et nulle faiblesse ne s'y lisait. Il souhaitait ma victoire, mais il lutterait férocement, totalement, pour que cette victoire ne soit pas que fumée. Dans le respect de nos traditions, pour la valeur de notre lignée.

Cri après cri j'essuyai l'impact de ses coups, esquivai quand je le pouvais, sans jamais trouver ne serait-ce qu'une respiration pour me rétablir, et attaquer. Je ne survécus qu'en lançant délibérément mon bouclier à l'assaut de son épée qui s'y enfonça si profondément, tant était grande la force de ses bras, qu'elle s'y trouva prisonnière. Je rabattis en ahanant mon bouclier vers le bas dans un mouvement torve qui obligea Arald à lâcher d'une main la poignée de son épée captive, abattit ma lame comme un marteau à la base de la sienne, puis, profitant de sa prise incertaine, lâchai mon bouclier tel un lest. Son arme lui échappant, il leva son bras pour entraver mon coup ; je lacérai son armure avant de pivoter pour me glisser derrière lui. Sa jambe faible ne lui permit pas de se retourner aussi vite, et le tranchant de mon épée trouva sa nuque. Pas assez fort pour la trancher complètement – une hache va toujours mieux qu'une épée pour un tel ouvrage. Mais il tomba à genoux.

C'était comme de voir une montagne s'écrouler. Sa nuque béante vomissait un flot de sang quand j'abattis ma lame à nouveau pour rendre son âme à Catharis en criant le nom de Hvittjell. Et dans ce flot de sang je suis née à nouveau. Née reine, pour gouverner.

Toutes ces années depuis mon couronnement à l'âge de vingt-trois ans, les morts m'ont portée. Mon père, ma mère, Eimar, Thorek, leur souvenir est une flamme sans laquelle je ne serais qu'humble braise. Même une reine n'est rien par elle-même. Elle est tout par les siens, son sang, et son peuple. J'ai appris à m'entourer de gens sur lesquels sur je peux compter ; Edric, disparu dans un éclat de fureur puérile, n'était pas du nombre. J'ai été exigeante, mais juste, je crois, avec tous. J'ai connu le doute et l'échec, mais j'ai porté la couronne aussi honorablement que je le pouvais, et sans compromis. Je ne me suis pas remariée, d'abord par fidélité à Thorek, puis pour demeurer libre. J'ai partagé ma couche avec des hommes qui sont devenus, ou pas, des amis précieux. Aujourd'hui, à trente-six ans, je regarde le monde, et je sens la vie en moi qui se cabre et renâcle, avide de mordre encore, assoiffée d'affronter les défis que le destin m'imposera, jusqu'à ce qu'un prétendant plus jeune me ravisse le trône. Cienna, peut-être, mais je n'y crois guère, et le temps des regrets est passé. Mes yeux sont tournés vers le présent, et ces temps-ci, il y a fort à observer...

Middholt tremble, dit-on, comme un volcan prêt à exploser.

 













Jeux du réel

Pseudonyme/Prénom : Ethaìn me convient. Âge : 33. Localisation : Urbaine. RP : Jamais compté en lignes… autour de 1000/1300 mots le plus souvent. Occupation: Psy. Le mot qui vous décrit le mieux: Positive. Comment avez-vous découvert Frostfall ?: Par Irinwe, merci à elle ! Commentaire/Suggestion ?: Le forum semble très motivant et le design claque mais la couleur de police le rend quasiment illisible sur ma tablette, c'est un supplice (trop sombre sur le fond noir) - ouin ! Sinon bah rien de spécial, merci de votre accueil !  

© Quantum Mechanics
 


Revenir en haut Aller en bas
Nelrenethys

Sa Majesté des Elfes

Nelrenethys
Sa Majesté des Elfes
Afficher
ARRIVÉE : 02/04/2014
MURMURES : 635



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 20:49

Que vous êtes belle ! Une fiche toute propre tout prête, voilà qui est parfait !
Bienvenue consoeur souveraine ! Coeur

Revenir en haut Aller en bas
Crendal Flynn


Crendal Flynn
Afficher
ARRIVÉE : 18/06/2014
MURMURES : 13



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 20:52

J'attendais ce perso avec grande impatience.

Votre Majesté, la bienvenue.

Revenir en haut Aller en bas
Ehvan Clanfell

Le Jeune Lion

Ehvan Clanfell
Le Jeune Lion
Afficher
ARRIVÉE : 15/04/2014
MURMURES : 463



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 20:58

Oh, Ethaìn  Fou du café 
Bienvenue  Bisous 

Revenir en haut Aller en bas
Zorkharr

L'Édenteur

Zorkharr
L'Édenteur
Afficher
ARRIVÉE : 18/04/2014
MURMURES : 438



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 21:09

Lantheia... Sors de là, je sais que t'es cachée sous cette crinière, allez !  Bouder 

Officiellement bienvenue, je me répète mais ça me fait plaisir de te revoir et j'ai hâte qu'on fasse de nouveaux plans tordus et hilarants ensemble  Câlin envahissant 

Revenir en haut Aller en bas
Irinwe

Panseuse d'Ibenholt

Irinwe
Panseuse d'Ibenholt
Afficher
ARRIVÉE : 01/04/2014
MURMURES : 726



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyJeu 26 Juin - 22:29

Bienvenue officiellement ! Waah c'tte fiche Trop mignon ! 
Ravie que ce personnage soit campé par ta plume !

Revenir en haut Aller en bas
Cienna Lonerider

Princesse Héritière de Hvittjell

Cienna Lonerider
Princesse Héritière de Hvittjell
Afficher
ARRIVÉE : 20/04/2014
MURMURES : 47



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyVen 27 Juin - 0:40

Mamaaaaan! Admiration Angélique 

Bienvenue parmi nous! cheers

J'ai adoré ta fiche, j'ai hâte qu'on puisse rp toutes les deux! S\'Il te plaît

Revenir en haut Aller en bas
Ethaìn Lonerider

Reine de Hvittjell

Ethaìn Lonerider
Reine de Hvittjell
Afficher
ARRIVÉE : 25/06/2014
MURMURES : 79



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyVen 27 Juin - 8:42

Merci merci !  Câlin 3 
Iri, Zozo, bien contente de vous retrouver pour faire les 400 coups ^^

Revenir en haut Aller en bas
Lorkhan Ravncrone

Prince aux Fers

Lorkhan Ravncrone
Prince aux Fers
Afficher
ARRIVÉE : 06/02/2014
MURMURES : 1205



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyVen 27 Juin - 11:21

Déjà, bienvenue officiellement ! Fou

Je préviens d'office, je n'aurai pas grand chose à dire: c'est tout simplement parfait ! Honnêtement, je suis content de voir que tu as finalement cédé pour Ethain, parce que je sens que tu vas l'incarner à merveille Fou J'ai beaucoup aimé la moralité et l'histoire, la façon dont tu l'as écrite, racontée, c'est vraiment très prenant ! Bref, je ne vois pas trop quoi ajouter, si ce n'est que j'ai hâte de voir comment tu vas réussir à t'imposer toi et ton Royaume dans les affaires de Middholt :3

Du coup, je suis heureux de te valider officiellement ! Bienvenu chez nous Fou

   


   

Validé(e) !  

Félicitations, très cher pion, et bienvenue sur l'échiquier de Frostfall. Gare à toi, parce qu'ici, la félonie est un plat qu'on sert à toutes les sauces...

   N'oublie pas de recenser ton avatar et de rédiger ta fiche de lien dans la section gestion des personnages. Si tu souhaites avoir ton rang personnalisé, c'est ici que tu dois te rendre !

   Sur ce, nous te souhaitons bon jeu sur Frostfall et espérons que la Fatalité te sera favorable !

   

Revenir en haut Aller en bas
Ethaìn Lonerider

Reine de Hvittjell

Ethaìn Lonerider
Reine de Hvittjell
Afficher
ARRIVÉE : 25/06/2014
MURMURES : 79



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyVen 27 Juin - 11:30

Merci, ravie que ça vous plaise ! J'ai hâte de me lancer  Arrogant 

Revenir en haut Aller en bas
Sylarne Clanfell

Reine consort d'Ibenholt

Sylarne Clanfell
Reine consort d'Ibenholt
Afficher
ARRIVÉE : 24/11/2013
MURMURES : 1919



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider EmptyVen 27 Juin - 13:34

Estomaqué

Vous êtes trop rapides, j'ai même pas eu le temps de venir faire ma danse de la joie ! En tout cas, ma reine guerrière, je suis super contente que tu aies enfin rejoint nos rangs ! Fou

Bienvenue officiellement donc et nous aurons, certes, à nous croiser très bientôt en RP Ah vraiment ?

Câlin

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Afficher



Ethaìn Lonerider Empty
MessageSujet: Re: Ethaìn Lonerider   Ethaìn Lonerider Empty


Revenir en haut Aller en bas
 

Ethaìn Lonerider

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» CIENNA LONERIDER ♞ ô mère venez-moi en aide : je n'ai pas l'âme d'une matricide!
» Chroniques du règne d'Ethaìn Lonerider
» Nulle reine n'est une île ♘ Liens d'Ethaìn Lonerider
» ethaìn ~ woman king.
» Maison Lonerider

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FROSTFALL :: Personnages :: Présentations des personnages :: Présentations validées-