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 Factions & guildes

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Queen Of Crows

Dame Fatalité

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Dame Fatalité
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ARRIVÉE : 24/11/2013
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MessageSujet: Factions & guildes   Factions & guildes EmptyLun 10 Mar - 18:26



Factions & groupes



Chevaliers d'Airain

Ordre ancestral, les Chevaliers d'Airain veillent sur Middholt depuis des millénaires, du haut des quatre tours d'airain qui flamboient dans le soleil matinal du Val. Combattants émérites, guerriers chevronnés, il ont fait le serment de protéger le continent et ses habitants de toutes les menaces aussi bien externes qu'intestines. Indépendants d'allégeance, ils ne sont liés à aucun souverain, ne prêtent allégeance à aucune maison et doivent consacrer leur existence à défendre la veuve et l'orphelin. Fondés après le Réveil des Dragons, ils avaient pour objectif initial de veiller sur Solvkant et la Dorsale, allumant des flambeaux à la cime des cols enneigés si les dragons en venaient à réapparaître. Ils ont établi leur quartier général dans le Val à partir de la Troisième Ère, contrôlant l'étroit passage entre la Dorsale et la côte de la Baie des ancêtres, à même d'en refuser le passage si des envahisseurs en venaient à vouloir atteindre le nord ou le sud. Entraînés par des Maîtres-Lames, des Maîtres-Jouteurs et des Maîtres-Cavaliers, les recrues qui y sont envoyées (en général à l'âge de sept ans pour les fils de nobles ou plus vieux pour les bourgeois ou les pauvres) proviennent en général de toutes les cités de Middholt, sans égard pour leur ville natale. Quelques maisons, comme les Clanfell, les Lonerider et les Dragonfall envoient tous leurs fils y recevoir une éducation militaire et académique, les forçant à s'absenter de leur foyer pendant sept ou huit ans avant d'y revenir et d'y recevoir leur formation de seigneur ou de futur roi. Forgés, donc, dans les feux de la bataille, ils sont mieux à même de juger si une guerre est nécessaire ou si elle peut être évitée, du moins était-ce un autre objectif de l'Ordre, à sa fondation.

Si les femmes n'étaient traditionnellement pas admises en leurs rangs, les règles se sont considérablement assouplies au fil du temps et quelques unes d'entre elles peuvent maintenant bénéficier d'une formation militaire auprès des Chevaliers, quoi qu'elles demeurent minoritaires et la proie des sobriquets les plus farfelus. Quand on n'insinue pas qu'elles sont des hommes manqués ou aussi laides qu'un ours, on les harcèle d’œillades perverses ou on tente de les étendre dans des draps contre leur volonté. Surtout filles de bourgeois ou orphelines, les Filles d'Airain sont rarement issues de la noblesse qui les prépare à une toute autre destinée, sauf exception des nobles dames de Hvittjell qui, par leur appartenance à un régime ancestralement guerrier et méritocratique, doivent également suivre une formation militaire.

Après leur formation, la plupart des individus façonnés par le mode de vie austère et privatif de l'Ordre sont reçus chevaliers et adoubés, deux options s'offrent alors à eux. Soit ils peuvent retourner à la vie civile et à leurs responsabilités, soit ils peuvent prononcer leurs vœux et demeurer aux Tours d'Airain en tant qu'inféodés à leur maison d'attache, prenant le manteau d'airain et jurant de protéger tous les habitants de Middholt. Dans tous les cas, l'ensemble des chevaliers reçus obtient le titre de ser (pour les hommes) ou de sera (pour les femmes). Ceux qui prennent la décision de prononcer leur Serment devant les anciens de l'Ordre, jurent non seulement de ne pas s'affilier à une maison ou à oublier celle à laquelle ils appartenaient, mais renoncent également à une vie de famille, puisque ceux qui prennent le manteau bronze ne peuvent engendrer d'enfants (même si, théoriquement, les relations amoureuses ne sont pas explicitement interdites, elles demeurent néanmoins découragées, puisque si elles mènent à une naissance, le chevalier est automatiquement radié).
   

Sentinelles d'Alfeynheim

« Yeux sur l'horizon, du cor nous sonnerons et nos épées nous dégainerons, lorsque de nos vies, le pont nous défendrons. » Sentinelles inflexibles, elles veillent sur le Pont d'Alfeynheim depuis la chute des Cinq Rois de Daìnnkastal, lors de la Deuxième Ère. Assermentés par le roi d'Askevale, ils dépendent de son administration, sans toutefois y être complètement soumis. Gardes au manteau noir et d'argent rutilant, épées à tête d'aigle et cuirasse cloutée de platine, ils défendent le pont reliant Middholt à l'île de Daìnnkastal, dernier rempart entre les Hommes et les non-morts, entre les Krigere et les spectres qui hantent les sommets enneigés des terres déchues. Si quelques uns - incluant les officiers - y sont par choix, mus par la volonté honorable de défendre Middholt contre les menaces qui pourraient venir de l'Est, la grande majorité y est par obligation, désireuse de ne pas terminer sous la hache du bourreau ou de ne pas être condamnée à errer sans le sous par les terres glacées creusées d'infertilité du continent. Gibier de potence, voleurs, contrebandiers, faux-sauniers, meurtriers, violeurs et escrocs y sont envoyés, les souverains préférant mettre ces nuisances à contribution plutôt que d'envoyer d'autres corps inutiles dans les charniers et s'il fut un temps où les Sentinelles étaient considérées comme de grandioses combattants lestés des honneurs d'une vie d'austérité et de privation, cette glorieuse époque est bien loin derrière eux et plusieurs se plaisent, derrière leurs dos, à les surnommer les pourfendeurs de chimères, les chiens de garde du pont abandonné ou l'arrière-train des Ashlands. Alors qu'ancestralement liés par un serment qui les contraignait à demeurer célibataires toute leur vie durant, à délaisser leur famille à jamais derrière eux et à ne jamais engendrer d'enfants, la sentinelle d'aujourd'hui est, sous le commandement du chancelier actuel, une vaste parodie de régiment, alors que le laxisme permet des écarts de conduite sans précédent ; soldats mariés offrant le gîte à leur épouse et leur marmaille à même les murs de la Chancellerie, prostituées importées d'Askevale pour tenir compagnie aux assermentés - voire à certains hauts gradés -, beuveries, débauches, indiscipline et désertions étant devenus monnaie courante. Mais qu'adviendra-t-il de Middholt si les seuls remparts entre la désolation et la salvation en venaient à n'être que soulards incompétents ? Une chose est certaine, une bonne réforme serait de mise.
   

Sycophantes

Coupes-gorges, assassins, meurtriers et tueurs à gages invétérés, ils partagent les entrailles de la terre sous le cimetière de jaspe des steppes de l'est et possèdent un sanctuaire secret derrière les remparts de toutes les citadelles. Malgré leur anonymat et le secret qui les entoure, leur existence même n'est un mystère pour personne et la seule mention de leur nom réussit à jeter sur toutes les échines des frissons effrayés. Si une réputation de tueurs sans scrupules les accompagne, il convient de remettre les pendules à l'heure : loin d'être une guilde d'assassins désorganisés ou chaotiques, les Sycophantes obéissent à des règles bien précises, héritées de deux millénaires d'existence et de perfectionnement. Cinq lois régissent les moindres gestes des assassins et l'individu ne peut assassiner un autre membre de la guilde, subtiliser les biens de ses semblables, accomplir un contrat qui ne lui a pas été échu, ébruiter les secrets de la guilde ou contrevenir aux ordres donnés par le chef de faction. D'enfreindre ces simples règles lui vaudrait une exécution immédiate et sans procès, souvent ponctuée d'une agonie longue et atroce. Si les luttes intestines pour la succession au poste de chef de guilde sont féroces, elles récompensent inexorablement les plus fines lames, les maîtres de l'ombre et les assassins les plus émérites, assurant à la guilde un dirigeant élu par le mérite et la portée de ses actions. Point d'honneur parmi les assassins ? Au contraire, ceux-ci sont parfaitement organisés et suivent un code d'honneur qui assure leur pérennité, même si leur morale peut sembler, aux yeux de la société, plutôt malléable.

Avant, toutefois, d'être la guilde organisée qu'ils représentent actuellement, les Sycophantes obéissaient au roi elfique d'Ibenholt, assumant la charge d'espions et de délateurs chargés de débusquer les traîtres ou les ennemis du pouvoir en place, d'où leur appellation de sycophantes. Mais une fois que le roi eut obtenu ce qu'il désirait d'eux, il les persécuta pour les éliminer tous, se lavant ainsi de toute allégation de despotisme en les chassant et les exécutant. C'est à partir de la Troisième Ère qu'ils se dissocient de leur rôle de délateurs au service du roi et disparaissent dans la clandestinité, ne quittant leur sanctuaire secret que pour se venger du pouvoir royal et des persécutions. Les deux Conjurations des Sycophantes, durant la Quatrième Ère, achèvent de les propulser dans la vocation de tueurs qu'ils se sont donnée, faisant d'eux la guilde d'assassins qu'ils sont aujourd'hui.

Mais n'intègre pas qui veut cette faction sans y être invité ou sans prendre de grands risques. La majorité des assassins sont recrutés par des membres de la guilde sans même savoir qu'ils étaient testés et examinés. Celui ou celle qui possède les aptitudes nécessaires est épié et surveillé par les recruteurs de la guilde (on les appelle Émissaires au sein de la guilde) qui approcheront secrètement le candidat potentiel en lui glissant dans sa bourse une pierre de jaspe gravée d'une tête de mort aux sillons creusés de teinture noire. Trois jours après la réception du jeton, le candidat potentiel se verra empoisonné par l'Émissaire qui l'entraînera dans le sanctuaire des Sycophantes pour proposer au candidat de joindre la guilde. Si celui-ci accepte, il devra passer à travers un rite initiatique et un entraînement complexe. S'il refuse, il sera empoisonné à nouveau et laissé au beau milieu des steppes arides, à la merci des bêtes sauvages et des intempéries, avec seulement quelques pièces en poche.

Mercantes

Oligarques richissimes, marchands de haute voltige, les Mercantes constituent une guilde associée au grand commerce, aux importations et exportations ainsi qu'à une économie de luxe indéniable. Chez les Mercantes, seule compte la fortune en pièces sonnantes et trébuchantes ainsi que le miroitement de l'or dans leurs coffres. Au nombre de douze, les oligarques dirigent la guilde, octroyant ou refusant leur protection et leur appui à certains commerces, agissant pour faire fermer ceux qui ne servent pas leurs intérêts ou décidant du montant accordé en créance au souverain ou au noble qui en fait la demande. Puisque la fonction principale des Mercantes est de prêter monnaie aux grands de ce monde afin de leur assurer la pérennité de leur train de vie, ils tiennent entre leurs doigts avares les cordons de la bourse de plusieurs royaumes et peu nombreux sont les monarques qui n'ont pas de dettes à leur égard, ce qui leur accorde un levier non négligeable dans la prise de décision politique en lien avec l'économie.

Pour être reçu chez les Mercantes, il suffit de posséder une fortune colossale, un réseau de contacts très élargi et une capacité à corrompre les plus récalcitrants d'entre eux. Certains marchands recherchent l'appui de la guilde en se plaçant sous leur protection (et en acceptant que les Mercantes s'ingèrent dans les affaires de l'échoppe), mais ne peuvent prétendre au titre d'oligarque s'ils ne peuvent se vanter de posséder une masse monétaire astronomique.

Reconnus pour les somptueux banquets et les décadents bals qu'ils donnent sur une base régulière, les Mercantes font partie intégrante des politiques d'un royaume et beaucoup, en leur qualité de créancier d'un royaume, occupent également le poste de Trésorier royal au sein des différents Conseils.


Maraudeurs

« La fortune sourit aux audacieux. » De l'audace, les Maraudeurs n'en manquent pas. Réunis par l’appât du gain, liés dans la clandestinité et le crime, ils subtilisent, volent, trichent, manipulent et extorquent, sans l'ombre d'un remord. Moins organisés que les autres guildes, davantage erratiques et chaotiques, ils partagent néanmoins un appétit insatiable pour le larcin et le vol, ainsi qu'un mépris des riches et de l'honneur. Si la plupart des voleurs préfère œuvrer sans le concours d'une guilde ou d'un quelconque code de lois, certains favorisent l'appartenance au Maraudeurs qui leur assure un vaste réseau de contacts, de receleurs ainsi que des contrats très payants accomplis pour des patrons de la guilde. Dirigés par un triumvirat de voleurs chevronnés, les Maraudeurs suivent l'unique loi qui les lie tous : ne jamais voler aux pauvres et à un membre de la guilde. Mis à part ce cas de conscience, tous sont libres de leurs actions, mais également responsables de leur liberté, puisque les membres de la guilde n'interviennent pratiquement jamais si un des leurs est arrêté, enfermé ou exécuté, sauf s'il s'agit d'un élément crucial de la guilde.

Maîtres de l'ombre, de la dissimulation et des serrures, ils se targuent de pouvoir entrer dans n'importe quel château, de se déguiser et se faire passer pour un fils au sein d'une famille même tissée serrée. Une chose est certaine, leur talent pour le larcin est indéniable et leurs rapines les rendent souvent célèbres de par un royaume alors que les affiches des têtes dirigeantes pullulent sur les murs des citadelles, réclamant récompense pour la capture des plus imminents d'entre eux. Ingénieux, ils excellent presque aussi bien dans le vol et l'extorsion que dans l'évasion des prisons, devenant des atouts non négligeables pour les Sycophantes qui ont souvent recours à leurs services pour libérer un des leurs. Mais le caractère erratique et peu fiable des Maraudeurs aura-t-il raison de leur pérennité ou menacera-t-il leur existence même ? Seul le temps le dira...


Plus ?

Envie de fonder une autre guilde ou une autre faction ? Si tel est le cas, vous êtes invités à contacter un administrateur par message privé en lui fournissant le nom de la guilde, une description de celle-ci (environ 15 à 20 lignes) et en justifiant sa pertinence pour le forum.


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